Gnocchi de potimarron, crème parmesan ail

18 janvier 2025

Pour 2 personnes en plat principal, 4 personnes en entrée

 

1 petit potimarron

200 g de pommes de terre farineuses (bintje ou agria)

100 g de farine

1 jaune d’œuf

1 petite cuillère de sel

1 dl de crème

20 g de parmesan

1 gousse d’ail

Poivre du moulin

Huile d'olive

Semoule de blé dur

 

Nettoyer le potimarron et les pommes de terre.

Détailler 200 g de chair de potimarron en dés, sans les éplucher (réserver le reste pour un potage).

Cuire les pommes de terres entières, à la vapeur, durant une demi-heure. Au bout d’un quart d’heure, ajouter les dés de potimarron et poursuivre la cuisson.

Eplucher les pommes de terre et les tailler en gros morceaux. Ajouter les dés de potimarron. Ecraser avec un presse-purée.

Ajouter la farine, le sel, et le jaune d’œuf. Agglomérer en pâte.

Saupoudrer généreusement le plan de travail avec la semoule de blé dur.

Détailler la pâte en 4 portions et mouler en saucissons de 2 cm de diamètre.

Y tailler les gnocchi et les déposer sur une feuille de papier sulfurisé.

Râper le parmesan, gratter la gousse d’ail sur un gratte-ail pour la réduire en purée (à défaut utiliser une râpe à muscade).

Mettre le fromage et l’ail dans la crème et chauffer gentiment dans une petite casserole.

Plonger les gnocchi dans une grande casserole d'eau bouillante salée et les pocher 2 à 3 minutes. Dès qu'ils remontent à la surface, ils sont cuits.

Verser la crème au parmesan dans une poêle, récupérer les gnocchi à l’aide d’une écumoire et les mettre dans la crème ; bien les enrober de sauce, puis les servir sans attendre dans des assiettes creuses.

 

Choisir la bonne courge

Pour réussir les gnocchi classiques à la pomme de terre, on opte pour des pommes de terre farineuses, riches en amidon (binjte ou agria), à la chair plutôt sèche. Cela permet de limiter la quantité de farine dans la pâte et d’obtenir des gnocchi plus digestes. On applique la même règle avec les courges. Parmi les variétés que l’on trouve le plus facilement dans le commerce, il y en a une qui se prête bien aux gnocchi : le potimarron. Si on en trouve, on peut aussi opter pour une kabocha ou une blue ballet (hubbard,dont la chair assez sèche est parfaite pour les gnocchi.. En revanche, on réservera la butternut aux tartes ou aux potages, sa chair n’étant pas assez farineuse.

 

Poires caramélisées au praliné de noix

Pour 4 personnes

 

4 grosses poires (par ex. Harrow Sweet ou Williams)

150 g de sucre + 25 g

40 g net de cerneaux de noix (soit env. 8 noix)

 

Eplucher les poires. Les couper en deux et retirer le cœur.

Dans une large casserole (capable d’accueillir les demi poires), verser les 150 g de sucre avec 4 cs d’eau.

Chauffer à feu moyen en remuant la casserole de temps en temps, jusqu’à l’obtention d’un caramel blond.

Hors du feu, ajouter 5 dl d’eau (attention aux éclaboussures !), remettre sur le feu pour faire fondre le caramel, puis ajouter les poires.

Couvrir et cuire à couvert 20 minutes en retournant les poires toutes les 5 minutes. Tester la cuisson avec la lame d’un couteau : les poires doivent être tendres. Les laisser refroidir dans le caramel, puis les disposer dans un plat.

Réduire le jus de cuisson à 1dl en le portant à ébullition ; verser sur les poires.

Concasser légèrement les cerneaux de noix, les mettre dans une poêle anti adhésive, ajouter les 25 g de sucre et chauffer jusqu’à caramélisation ; verser immédiatement sur du papier sulfurisé et laisser refroidir. Casser le praliné et le répartir sur les poires au moment de servir.

Déguster en compagnie de chantilly ou de glace à la vanille.

 

Pour goûter le nillon de noix : https://www.lepetitcageot.ch/